mercredi 28 février 2018

Du sucre, encore du sucre, trop de sucre

Une de mes expériences, depuis quelques années ? Réduire drastiquement le sucre dans tout ce que je cuisine, surtout les desserts, sans qu'on ait l'impression d'avoir vraiment perdu en saveur. J'ai donc pris l'habitude de couper un quart de la quantité mentionné dans mes recettes, de tester les résultats, puis de couper encore, si c'est possible, dans un essai subséquent. Ça fonctionne assez bien jusqu'à maintenant, avec peu de grincements de dents notables chez mes convives.

Ma plus belle réussite ? Ma fille, en appartement depuis plus d'un an, qui appelle pour me demander combien de sucre je mets dans mon thé glacé maison. Ma réponse : pas le moindre grain. Et elle de répliquer "Ce n'est pas vrai, je t'ai déjà vu en mettre dans l'eau chaude avant de mettre le thé à infuser. Effectivement, mais c'était il y a trois ou quatre ans, quand j'ai commencé à faire du thé glacé pour aider à faire passer les migraines de mon fils (je reviendrai sur cette recette miracle pour Fiston). Il y a belle lurette que je n'en mets plus. Silence au bout du fil. Et sourire de satisfaction chez moi. Ayant graduellement réduit le sucre jusqu'à l'omettre, personne ne s'est rendu compte de mon manège. Et personne ne grimace non plus maintenant en buvant, alors qu'ils auraient tous chialer au début si j'avais essayé le thé au naturel. Surtout, ne leur dites pas que j'ai fait la même chose avec le sel.........

mardi 27 février 2018

Tenir ses résolutions....

........ n'est jamais facile. Bien que cette année, jusqu'à maintenant, je m'en tire mieux qu'à l'habitude dans l'ensemble. Probablement parce que j'ai adapté le concept à mes capacités. (sourire en coin). Mais bon, ce n'est pas parfait non plus, loin s'en faut. Ici, par exemple...

Je m'étais dit que je publierais ici au moins au trois jours. Me voilà avec plus d'une semaine de retard. À ma décharge, la dernière dizaine a été plutôt mouvementée. Qu'est-ce qui trône au sommet ? Jeudi matin, Fiston s'est fracturé le bras au niveau du coude, en tombant sur la glace. La tête radiale pour être plus précise. Vous saviez que c'était le seul os qui doit continuer de bouger pendant la guérison d'une fracture ? Il le faut, pour s'assurer qu'il continue de pivoter dans son axe. Sinon, le bras risquerait de ne plus pouvoir atteindre sa pleine extension, ni permettre de tourner la paume vers le sol ou vers le ciel. Bref, pas de plâtre ni d'attelle pour fiston et de la physio maison sous forme de divers exercices. Sans compter la nécessité de ne soulever aucune charge lourde pendant 6 semaines. Vous dire qu'il n'était pas très content serait un euphémisme. Surtout qu'il était en stage cette journée-là. Résultat ? Il n'a pas appelé pour que j'aille le chercher après sa chute, préférant accomplir sa journée en espérant que la douleur passe. Quand je suis passée à l'animalerie, vers 15h30, parce que j'étais dans ce coin de la ville et non parce qu'il m'a appelé, il avait le coude enflé et peinait à bouger le bras. Nous avons donc passé un beau six heures à l'urgence, puis sommes retournés rencontrer un orthopédiste vendredi pm pour confirmer la fracture. Depuis, il grogne à intervalles réguliers, mais l'état de son coude semble s'améliorer, la mobilité de soin bras aussi. On va croiser les doigts pour que ça dure.

De vendredi en fin de journée à dimanche soir, un couple de grands amis a séjourné à la maison. On a jasé un peu de littérature et de projets, mais on a surtout travaillé à un de mes grands projets 2018 : la mise en ligne de deux sites web distincts. Un pour mes activité d'écrivaine et de directrice littéraire, l'autre pour mon côté artiste multidisciplinaire. Tout n'a pas été aussi simple qu'on l'aurait voulu, mais j'avais, dimanche soir, deux noms de domaines qui m'appartenaient, de même que les bases de deux sites WordPress que je vais m'ingénier à construire de belles façons dans les prochaines semaines et les prochains mois. Je ne vous en dis pas plus pour le moment et j'y retourne, histoire que ça avance un peu... :P

Côté lecture, je suis en plein dans Le grand et le petit Albert, un livre de magie et de cabalistique. Pour le moment, après deux ou trois chapitres, je ne suis pas convaincue qu'il me sera vraiment utile dans mes recherches, mais je lui laisse encore une chance de me séduire. Pour la détente, mais aussi l'étude de la structure de divers romans policiers, j'ai lu Miséricorde, de Jussi Adler Olsen. Le livre a remporté plusieurs prix depuis sa sortie, a été maintes fois traduits. Plusieurs choses m'ont séduite, à commencer par le fait que l'enquêteur travaille sur des "cold case" et a un assistant fort intéressant du point de vue développement d'un personnage atypique. Toutefois, j'ai compris qui était le "méchant" au tiers de ma lecture, ce qui m'a un peu déçue. Je vais quand même en lire un deuxième d'Olsen, en espérant que ce qui m'a plu soit encore au rendez-vous.



dimanche 18 février 2018

Découvertes de recherche...


J'ai terminé aujourd'hui l'Almanach des Sorcières. Que je ne rangerai pas trop loin, convaincue que je m'y référerai souvent au cours de mes recherches subséquentes dans d'autres livres. 

Ce fut une lecture enrichissante non pas tant sur la magie elle-même que sur les bases de sa pratique et le calendrier qui la régie. J'y ai découvert tellement d'informations pertinentes - et fort intéressantes à bien des points de vue - que je vais sûrement vous en reparler à intervalles réguliers. En particulier quand le moment sera bien choisi dans le calendrier. Je vous en donne un exemple. 

Je suis sûrement plus sorcière que je ne le pense, comme je l'ai mentionné sur mon compte d'auteure FB puisque, depuis quelques semaines, je ne cesse de faire du ménage dans tous les coins de la maison. Tout y passe, des placards au garde-robe, de mon bureau jusqu'au dessous de l'escalier. Or, pour les sorcières, février est le mois idéal pour faire le point et enfin décider de se débarrasser de qui nous encombre, au propre comme au figuré. Et c'est justement ce que je constate chaque fois que je m'attarde à un grand ménage dans mes possessions et mon environnement : mon esprit est ensuite plus clair, la voie à suivre mieux tracée devant moi, dans bien des sphères de ma vie. Envie d'essayer vous aussi ? Pas besoin d'outils particuliers, ni de plantes ou de chandelles. Juste la volonté de mettre de l'ordre chez vous et... en vous. ;) 

Pour en revenir à mon almanach, j'ai pu constater, comme bien souvent depuis le début de mes recherches sur les sorcières et la sorcellerie au fil des siècles, que ce n'est pas une religion mais bien une façon d'être et de penser qui accorde à l'individu une immense liberté. En plus d'une égalité des sexes millénaires qui est, encore aujourd'hui, fort peu répandu dans nos sociétés. Par ailleurs, les sorciers (eh non, ce n'est pas exclusivement féminin comme concept :P ) et sorcières n'adorent pas de dieux ou de déesses propres à leurs rites ou leur cultures, mais se réfèrent à un amalgame emprunté aux grecs, aux celtes et égyptiens, entre autres. Ce que j'avais remarqué lors de ma lecture en accéléré du La Wicca : Guide de pratique individuelle. J'y reviendrai quand ce sera plus clair dans mon esprit et que j'aurai approfondi ma lecture des textes de Scott Cunningham, spécialiste américain de la Wicca (une branche récente de la sorcellerie )

En fin de semaine, j'ai renoué avec une vieille habitude que j'avais perdue il y a trop longtemps : la lecture de la revue l'Actualité. Ma meilleure amie n'a cessé de me parler des articles du numéro de mars, la semaine dernière, m'envoyant liens et commentaires. Ainsi hameçonnée, j'ai vite succombé. Et je ne l'ai pas regretté. Tant et si bien que je me suis réabonnée après six ou sept d'abstinence souvent involontaire. La revue porte magnifiquement son nom et son tour d'horizon des sujets d'actualités réjouit tout autant qu'il attriste ou sidère. Le dossier de février sur un nouveau phénomène de société - Mourir seul - vaut, à lui seul, le détour. Ne vous privez pas ! 

J'ai un faible marqué pour la nourriture et tout ce qui s'y rattache, dont cuisiner et découvrir de nouvelles recettes, de nouveaux aliments, quitte à ne pas toujours pouvoir dire que c'est réussi... Mais je vis très bien avec ça (même si Chéri et les enfants ne sont pas toujours d'accord... ;) ) Aujourd'hui, j'ai testé ces biscuits-là, auxquels j'ai toutefois retranché le tiers du sucre (on en consomme toujours trop) sans que ça paraisse. Et j'ai séparé le tout en 17 au lieu de 8, histoire de diminuer les portions. (Je ne sais pas trop à quoi ça sert, cette théorie, puisque Chéri et Fiston prennent deux biscuits au lieu d'un. Mais on va faire semblant qu'on n'a rien vu.) J'ai aussi commencé à fouiner dans un livre de recette véganes achetés au SLM. Loin de moi l'idée de devenir végétarienne, j'aime bien trop le steak sur le BBQ pour ça ! Mais je ne dis pas non à diminuer la présence de la viande au quotidien. Je parle du livre quand j'aurai testé plus d'une recette (même si ce premier essai était pas mal bon ! ) 

J'ai créé une bonne douzaine de cartes pendant que mon cerveau essayait de donner un bagage psychologique aux personnages de ma nouvelle en chantier. Et continué ainsi sur ma lancée de ménage en utilisant nombre de mes retailles de cartons. Une  petite victoire ! :P 

En conclusion, une fin de semaine fort productive, où j'ai beaucoup avancé dans une multitude de projets. Demain ? C'est ma journée de coaching avec quatre jeunes inscrits au concours Sors de ta bulle. J'ai eu la chance de lire les quinze premières pages de leur textes dans les dernières semaines. On va maintenant regarder, au cours de rencontres individuelles, où on peut s'améliorer !

vendredi 16 février 2018

Boîte à livres


Il y a à peu près un an, mon chum m'a construit une boîte à livres qu'on a installé devant la maison. Longtemps que c'était sur ma liste de projets et je ne suis pas peu fière du résultat. Depuis, j'ai des habitués comme des lecteurs de passage, des gens qui laissent des caisses de livres sur ma galerie, aussi, pour que mon offre soit toujours diversifiée. On y retrouve parfois des nouveautés, souvent des classiques, quelquefois des raretés, des oubliés aussi, ainsi que des surprises et des bouquins un peu étranges. Si vous passez dans mon coin, n'hésitez pas à vous arrêter. Vous pouvez sonner également, il me fera plaisir de vous piquer une jasette. :P

Je vous joins la liste des boîtes à livres que j'ai déjà visité sur le territoire de l'Estrie :
*Dans le hall de la Caisse populaire de Stoke, avec le guichet automatique
*Sur la rue London, (Sherbrooke)
*Sur la rue Fulton (Sherbrooke)
*Au petit resto en face de la Clinique médicale (Brompton)
*Dans la cours de l'église de Ste-Catherine de Hatley

Ma journée, elle ? C'en était une d'apprentissage. Comme je le disais précédemment, quand il me faut réfléchir à mes histoires, je m'occupe les mains. Si j'ai terminé en un clin d'oeil ma première carte de souhaits, la suivante m'a demandé une demi-heure d'essais-erreurs. La troisième ? Encore pire. Mais je ne me découragerai pas. Si les techniques d'aquarelle sont plus complexes qu'elles n'y paraissaient, je vais bien finir par les assimiler... entre deux chapitres de mes livres de recherches toujours aussi complexes... ;)

mercredi 14 février 2018

Création indirecte

Hier, on a passé une partie de la journée à l'hôpital, Fiston et moi. Pour lui enlever, sur la peau, ce qui pourraient être des tumeurs. C'est comme ça quelques fois par année depuis quatre ou cinq ans déjà. Avant, c'était autres choses. Parfois, c'est un combiné de ça et d'autres séquelles de son médulloblastome, ou des symptômes de son syndrome de Gorlin. 15 ans que ça dure. Je pourrais vous dire que c'est un héros, mais ça ferait cliché. Je vais me contenter de souligner que je suis fière de lui, du chemin parcours, de sa résilience face au prix de sa survivance. Un prix dont on ne parle pas assez souvent, d'ailleurs, quand il est question de maladie grave...

Toujours est-il qu'une fois l'épreuve terminée, pis une couple de commissions faites, on est revenus à la maison épuisés. Pour ceux qui l'ignorent, c'est comme ça l'hôpital : tu ne fous rien, mais tu en ressors à plat comme si t'avais couru un marathon. Peut-être qu'un jour je comprendrai pourquoi. J'espère toutefois qu'on cessera, Fiston et moi, de le fréquenter avant. Même si on ne se fait pas d'illusions là-dessus.

Aujourd'hui, j'étais incapable de me concentrer sur les recherches pour mon prochain projet. Ben, mon plus gros, parce que j'ai trois ou quatre prochains projets, à divers stades d'avancement. Un fond d'inquiétude, sûrement, parce que Fiston est parti pour son stage avec une douleur lancinante au niveau de ses plaies. C'est bête, je croyais qu'on s'endurcissait avec les années. Au contraire, je trouve ça de plus en plus dur. Pour plusieurs raisons. Entre autres, parce que je ne peux pas prendre sa place, je ne pourrai que l'accompagner, quoi qu'il arrive. Parce qu'on sait, sans trop vouloir l'admettre, que ça ne finira jamais. Parce que j'ai beau accepter que la vie est rarement juste, ça me fait suer pareil. Je vais m'arrêter là pour cette fois. Un moment donné, je trouverai peut-être le "guts" de vous entretenir plus longuement de cette bataille qui n'en finit plus.

Qu'est-ce qu'on fait quand on est incapable de se concentrer sur sa job ? Non, on ne s'écrase pas dans le divan devant un bon film, ça empêcherait mon cerveau de fonctionner vraiment en arrière-plan. J'ai plutôt fait du ménage dans mon bureau, en espérant que ça en ferait dans ma tête. J'ai classé de la paperasse d'impôts, réparé mon imprimante, remplie une commande de cliente pour Stampin'Up, constater, (encore), que j'avais du matériel d'art ben trippant planqué sous les amoncellements divers... ;) Mais, au moins, mon bureau n'a jamais été aussi "clair" depuis une éternité. Mon imaginaire non plus d'ailleurs. Devinez ce que je vais faire demain ?

Oh, et dans mon ménage, je suis tombée sur cet article, que j'avais imprimé l'été dernier. Ça m'a rappelé qu'on doit accepter qui on est et apprendre à composer avec. Parce que c'est bien d'être différent. Même si ce n'est pas toujours évident.


lundi 12 février 2018

Extravagante.... ?

Je m'en confesse, j'ai tendance, quand il est question de matériel d'artiste, à être un tantinet (pas mal) extravagante. Surtout parce que les nouveautés sont nombreuses et de plus en plus intéressantes. Chaque jour, de nouvelles techniques, assortis d'une panoplie de produits aux multiples possibilités, apparaissent sur les blogues, surtout aux États-Unis, royaume du scrapbooking, entre autres. Mais comme ma maison n'est pas extensible, je dois modérer mon enthousiasme et faire des choix.

En m'installant pour fabriquer un ou deux cartes de souhaits, ce matin, j'ai jeté un oeil autour de moi et compris que je devais prendre une résolution - et la tenir - avant de me procurer quoi que ce soit de nouveau. Mon bureau déborde littéralement.....  Puisque je suis Démonstratrice Indépendante Stampin'Up, ce ne sera pas évident, compte tenu que la meilleure façon de vendre les produits de mes catalogues, c'est de faire la promo de ce qui est en vigueur en ce moment. Qu'à cela me tienne, j'ai décidé que pour chaque carte créée avec les produits actuels, j'en fabriquerais une à partir de produits que j'ai déjà en y ajoutant au moins une touche de nouveautés. Une excellente façon, je crois, de promouvoir les nouveautés, justement, tout en encourageant mes clientes à réutiliser les étampes, encres, rubans et papiers quasi oubliés sous les piles de produits fraîchement arrivés par UPS. Ces cartes seront publiés sur Instagram avec la mention Stampin,Up Nostalagie. Mon objectif premier ? 5 par semaine, au moins. Viendrai-je à bout de me montagnes de matériels ?

En dînant, j'ai lu quelques chapitres d'Anna Karénine, un livre commencé il y a une éternité. Pourquoi je ne l'abandonne pas ? Parce que je le trouve intéressant, bien que l'auteur ait tendance à prendre deux pages pour raconter ce qui entrerait dans une seule. La psychologie des personnages est très développés - ce qui n'est pas si répendu en ce moment - et le propos rejoint mon dernier manuscrit sous certains aspects, une motivation de plus à pousuivre. Et puis, il fait parti de la liste des 1001 livres à lire de Lili et ses défis. ;) J'en suis à 251 sur les presque 1000 pages. Lentement, mais sûrement.

Après-midi de lecture ardue dans Le Marteau des Sorcières, bréviaire des Inquisiteurs du Moyen-Âge. Comprendre la pensée du chasseur de sorcières, en 1486, n'est pas aisée : références nombreuses aux Saintes Écritures, aux lois canoniques, au contexte politique, social et culturel de l'époque. En alternance, je me suis référé au Dictionnaire du diable, des démons et des sorciers, histoire de mieux cerner mon sujet. Les recherches pour mon prochain manuscrit sont décidément une suite ininterrompue de découvertes aussi stupéfiantes qu'étranges. Je vous en reparle sûrement bientôt !

En soirée, lecture, encore, de recueils de nouvelles cette fois, puisque je suis en pleine rédaction d'une nouvelle, justement, et que, comme ce n'est pas ce que j'écris habituellement, j'ai besoin de mieux comprendre les rouages de cette façon de raconter. Et puis, c'est l'occupation parfaite pendant que mon fils travaille sur sa préparation en vue de son entrée à l'école aux adultes pour une cours de français. Je peux l'aider entre deux chapitres... Je vous parlerai bientôt de fiston, promis ! En attendant, vous pouvez toujours en apprendre un peu par . :)

dimanche 11 février 2018

Mettre de l'ordre et ralentir le hamster ?

Hummmm ! Que voilà un projet un tantinet ambitieux. Mais bon, il faut parfois (souvent) expérimenter de nouvelles choses pour parvenir à discerner celles qui nous seront désormais utiles de celles qui ne sont qu'un feu de paille. D'où ce blogue où j'ai l'intention de tenir un journal (pas du tout) intime de mes journées où je n'arrive pas souvent (jamais) à garder le focus sur un projet au lieu de trois ou quatre (plutôt vingt en réalité). Réussirai-je ainsi à mettre de l'ordre dans mon esprit en ébullition et ralentir le hamster qui court inlassablement. J'espère bien !

Il faut le dire d'emblée, je suis une touche-à-tout, qui essaie sans cesse, qui se passionne pour tout et n'importe quoi. Je ne compte plus les livres de références sur les sujets les plus divers, qui garnissent ma bibliothèque, pas plus que je ne sais combien j'ai de projets d'arts commencés mais pas encore terminés. Et ça ne m'empêche jamais de suivre un nouveau cours, de me procurer un nouveau livre de recette (même si j'en ai déjà tout plein), de trouver un énième sujet intéressant. C'est ce qui arrive quand on est (très) curieuse de nature. J'aime, mais surtout j'ai besoin, de comprendre et d'expérimenter. Partout. Tout le temps.

Pour vous aider à vous y retrouver un peu au fil du temps, je vous présente d'emblée les différentes identités que vous croiserez dans mes billets. Il y aura la Maman (de deux enfants de 16 et 18 ans), l'Écrivaine de dix romans publiés, dont neuf de fantasy, Zab, l'artiste multidisciplinaire, Lili, la fille aux 1001 défis et enfin, la dernière mais non la moindre, la Sorcière, reflet de mon côté plus sombre et mystérieux, et qui teinte de façon très inégale le quotidien des quatre autres. Bien hâte de partager avec vous !

Sur ce, je vous laisse pour me consacrer à quelques projets...


Ah, ces résolutions...

... qu'on arrive parfois à tenir, envers et contre tout et tous. Pour moi, comme pour plusieurs d'entre vous, sûrement, janvier n&...